Que dire, que dire ? Jâai connu ce restaurant il y a quelques annĂ©es, qui mâavait agrĂ©ablement surpris par le rapport qualitĂ©/prix. Jây suis retournĂ© avec ma compagne aujourdâhui.
Accueil froid par une odieuse mĂ©gĂšre au visage franchement haineux qui ne sâest pas mĂȘme donnĂ© la peine de marcher jusquâĂ nous. En guise dâaccueil, un geste agacĂ© en direction dâune table nous intimant lâordre de nous asseoir.
Une serveuse a peine plus polie nous servira une carafe de cinquante centilitre dâun odieux picrate que meme le plus dĂ©goĂ»tant des clochards aurait refusĂ© dâapprocher de ses lĂšvres.
Viandes trop cuites ou carrĂ©ment pas cuites. Aucun goĂ»t. Nourriture sĂšche, chips de crevettes qui auraient plutĂŽt leur place dans un musĂ©e vu le temps quâelles ont dĂ» passer Ă lâair libre et la cerise sur le gĂąteau, tout le repas passĂ© dans une vĂ©ritable nuĂ©e de moucherons qui virevoltaient autour de notre table, provenant selon toute vraisemblance de la salade que nous avions ramenĂ©e Ă notre table. ExpĂ©rience insupportable qui nous a vu passer tout notre repas Ă littĂ©ralement chasser les mouches.
Pour complĂ©ter la descente aux enfer du lieu, une clientĂšle bruyante et malpolie qui semblait sortir tout droit dâun centre social ou dâun foyer de dĂ©sintoxication.
Pour la premiĂšre fois de ma vie, je suis ressorti furieux dâavoir dĂ©pensĂ© quarante euros. Actuellement en train de prier que je ne tomberai pas malade.